Ainsi Parla Azeroth

par **Hedvig** Dim 13 Mai - 16:43

Terminé ! Mort le Titan noir ! Traître jusqu'au BOUT !
Il faut repartir de zéro, c'est à dire du début, c'est à dire d'où on en est, c'est à dire de la fin. La boucle a été une première fois bouclée. Gloire à Eonar ! Gloire à Azeroth ! Nous avions tord de croire en le retour de celui que l'on disait mauvais. Il l'était. Ceux qui avaient tord avaient raison. Inversion de toutes les valeurs que je voulais inverser ! Bah ! Tu es terminé ! Le Titan noir est mort !
Tu n'as pu que blesser notre Mère-Monde ! Tu n'es qu'un guerrier. Tu as fait couler ton sang, tu as fait couler le sang de ta fille qui est ta soeur qui est notre mère. Tu n'es plus rien et je n'ai plus peur de toi.
Argument : Une guerrière, une prêtresse et une Titanologue sont devant une inconnue qui souffre d'un mal inconnu.
La guerrière dit "Ce mal me dépasse ! Cette personne souffre ! C'est dur pour moi, dur pour elle, je suis solide, elle doit l'être, il faut la tuer pour qu'avec elle meurt le mal ! Il n'y a rien à faire !"
Mais je l'admire car elle lutte. Est-ce qu'elle lutte ? La guerrière admire la lutte (et elle fait bien).
La prêtresse veut abandonner. Bah, dit-elle. La lumière l’accueillera.
Arrive la moniale qui, elle, soigne. (À creuser)
Et quoi ! Merci guerrière car désormais je t'aime car tu luttes et quand tu perds tu emportes le monde et ainsi tu ne dois pas perdre ! Tu as tord de penser qu'il faut mettre fin à sa souffrance en mettant fin à son tout. Il faut lutter, pas combattre. Comprends-tu ? Reviens.
Prêtresse, décidément, tu ne sais pas vivre. Tu ne sais qu'attendre et avoir peur.
Celle qui souffre, c'est moi ! C'est moi de voir souffrir l'autre ! De voir souffrir celle qui est ma soeur ! Qui est ma soeur dans la lutte, dans l'admiration et dans le tropisme ! Tout veut vivre ! Le mal est inconnu ? Qu'importe ! Nous savons qu'il est un mal ! L'être est inconnue ? Qu'importe ! Nous savons qu'elle a besoin d'aide !
Les Titanologues ne cherchent plus, ils trouvent !
Ils sont le remède car ils veulent être le remède !
Volonté !